Vos questions Maisons Funéraires Generys

Une prise en charge de toutes les étapes des obsèques

Les Maisons Funéraires Generys mettent tout en œuvre pour épauler et soutenir les familles tout au long du parcours des funérailles

Les équipes des Maisons Funéraires Generys vous accompagnent de A à Z dans l’organisation d’obsèques.
Perdre un être cher est toujours douloureux et brutal. Dans cette épreuve difficile de la vie, les équipes des Maisons Funéraires Generys s’efforcent d’apporter conseil et disponibilité aux familles endeuillées.

  • 1 – Qui prévenir en premier à la suite d’un décès ?

    En cas de décès à domicile, la première chose à faire est d’appeler les secours : un médecin, le 15, le SMUR ou le Samu. Arrivé sur place, le médecin constatera le décès et établira le certificat de décès.

    En cas de décès dans un établissement de santé (hôpital ou maison médicalisée) c’est le personnel qui s’en charge.

    En cas de mort violente (accident, suicide…) il faut prévenir immédiatement la gendarmerie ou le commissariat de police.

  • 2 – Existe-t-il un délai pour l’organisation des obsèques ?

    Oui, les obsèques doivent être organisées dans un délai de 6 jours, ensuite il faudra que la pompe funèbre fasse une demande de dérogation délivrée par la préfecture.

  • 3 – Peut-on ramener un défunt dans son pays d’origine ?

    Oui, un rapatriement peut être pris en charge par une entreprise de pompes funèbres et une entreprise locale prendra le relai le défunt arrivé à destination. Les démarches administratives sont différentes et peuvent être un peu plus longues.

  • 4 – Une personne décédée à domicile peut-elle être admise à la chambre mortuaire d’un hôpital ?

    Non, il faut être décédé à l’hôpital pour cela, les personnes qui décèdent à domicile ou dans un établissement ne disposant de lieu de conservation des corps devront être transportés dans un funérarium.

  • 5 – Un défunt peut-il est admis dans n’importe quel funérarium ?

    Un défunt peut être admis dans n’importe quel funérarium, même si celui-ci est exploité par une entreprise de pompes funèbres différente de celle retenue par la famille du défunt pour l’organisation des obsèques.

  • 6 – Peut-on garder le corps de notre défunt au domicile ?

    Si les circonstances du décès et la configuration du lieu le permettent, oui, la famille peut garder le défunt au domicile, le temps d’organiser les obsèques. La mise en bière peut être anticipée, selon le souhait de la famille. Des soins de conservation peuvent être conseillés pour éviter tout désagrément dû au séjour du défunt dans un milieu non réfrigéré.

  • 7 – Si je fais un devis dans un établissement de pompes funèbres, cela m’engage-t-il auprès de lui ?

    Non, seule la commande engage les familles avec les services funéraires.

  • 8 – Comment financer les frais funéraires ? Qui paie ? 

    Si le défunt avait souscrit un contrat obsèques, un capital sera débloqué et utilisé pour le paiement des obsèques en partie ou dans son intégralité.
    Si la personne défunte avait une mutuelle, cette dernière peut éventuellement prendre en charge une partie des frais d’obsèques.
    Une demande de prélèvement sur un compte bancaire ou livret d’épargne au nom propre et unique du défunt est possible dans la limite de 5518,26 €, montant fixé par l’arrêté du 7 mai 2015, revalorisé tous les ans par L’Insee.
    La famille ou la personne ayant qualité pour pourvoir aux obsèques, s’engage, en signant la commande, à régler les frais d’obsèques s’y attenant.

  • 9 – Que fait-on si le défunt n’a pas de famille et pas de ressources ?

    Selon le Code général des Collectivités Territoriales L.2213-7, c’est le Maire qui doit s’occuper des funérailles. Il doit agir en s’assurant de préserver la quiétude de la commune qu’il gère, de protéger la salubrité publique et de respecter la décence due aux défunts.

  • 10 – A quoi sert un(e) maître(sse) de cérémonie ?

    Le/la maître(sse)de cérémonie assure le bon déroulement des obsèques, de la formation du convoi jusqu’à la mise en bière et à l’inhumation ou à la crémation. Il/elle dirige et accompagne le convoi lors de ses différentes étapes (chambre mortuaire ou funéraire, lieu de culte ou de cérémonie laïque, cimetière ou crématorium…). Il est le garant de l’application du protocole et coordonne l’intervention des différents acteurs (porteurs, marbriers, personnel…). Il accompagne le défunt et la famille, s’assure du bon déroulement des opérations jusqu’à la fin de la cérémonie.

  • 11 – Peut-on personnaliser l’hommage au défunt ou c’est pour tout le monde pareil ?

    Chaque personne est unique, l’hommage à la personne disparue peut/doit l’être aussi. La personnalisation des funérailles passe par le choix de textes, musiques, discours, choisis par la famille et pour le défunt. Ils peuvent être rédiger par les membres présents, lus par eux-mêmes ou par le/la maître(sse) de cérémonie.

  • 12 – Une pompe funèbre peut-elle s’occuper de cérémonies religieuses ?

    Une pompe funèbre en charge de l’organisation d’obsèques peut tout à fait contacter toute institution religieuse afin de demander une cérémonie religieuse pour une personne décédée, peu importe le culte.

  • 13 – Le cercueil est-il obligatoire dans le cas d’une crémation ?

    Oui, dans tous les cas, inhumation ou crémation, en France, le cercueil est obligatoire. Il doit être équipé d’une garniture étanche, de quatre poignées et d’une identification.

  • 14 – Puis-je garder les cendres de mon défunt chez moi ?

    Depuis 2008, il est interdit de conserver les cendres d’un défunt à domicile. Celles-ci doivent obligatoirement être inhumées ou dispersées dans un endroit approprié et déclaré aux autorités compétentes.

  • 15 – Que peut-on faire des cendres ?

    Depuis 2008, les cendres ont le même statut qu’un corps dans son intégralité. La famille peut inhumer dans une concession existante, caveau ou pleine terre, dans une concession cinéraire, columbarium ou cavurne. La dispersion des cendres est également possible en pleine nature (exceptée sur la voie publique), en mer (à plus de 300 mètres des côtes) ou bien en site dédié au cimetière appelé jardin du Souvenir.

  • 16 – Quelle est la différence entre un caveau et une pleine terre au cimetière ?

    Un caveau est un compartiment en ciment à l’intérieur du sol qui peut accueillir un ou plusieurs cercueils et qui est refermé par une dalle. Le cercueil n’est pas en contact avec la terre.
    Une pleine terre est un creusement d’une fosse d’une ou plusieurs places. Le cercueil est déposé à l’intérieur et la fosse est ensuite recouverte de terre.

  • 17 – Pourquoi les prix des monuments funéraires sont-ils si importants ?

    Les prix des monuments funéraires varient selon les choix et préférences de la famille. Cela dépend de la taille, de la forme, du type de granit et du travail des granitiers et des marbriers. Il y a souvent besoin de travail derrière la fabrication, le transport et la pose d’un monument, ce qui fait que les tarifs de cette prestation peuvent être conséquents.

  • 18 – Peut-on être enterré où on veut/n’importe où ?

    Non, il faut résider sur la commune, que le décès survienne sur la commune ou avoir déjà droit à une sépulture dans une concession existante de la commune.